Sujet: F*CKING DAMNED + Morrigan. Lun 5 Juin - 13:56
Morrigan Petty-Fitzmauric Avatar: Emily Browning
Humain à don - Freak like me
Statut:Pour les Altérations: Approuvée ( Pour le moment ... )
Âge:30 ans
Métier: Fossoyeur et serial killer. A tendance à profiter de son Job pour se nourrir et récupérer des morceaux de cadavre le temps de sa régénération.
Lieu de naissance: Née en Irlande.
Don: Les coups pleuvaient. Le sang giclait. Tu étais à deux doigts de l'achever. La lourde sentence allait tomber. Fracasser comme une hache sur un crâne aux filets carmins. Une épée de Damoclès. Destin funeste réservé à la mauvaise personne. Le bourreau crevé. La victime saluée. T'as sentis les lames percer ta chair avant de pouvoir ouvrir tes mirettes. C'était glacial, et pourtant si indolore. Ta carcasse nue sur une plaque de métal. T'as compris qu'un truc clochait. On ne revient pas. On ne revient jamais.
Mais toi, oui.
L'idée aurait été salutaire si au troisième dérapage, la vérité ne t'avait pas sauté aux yeux. Il y a un prix à payer. Tes vies sont de plus en plus affamées. De plus en plus demandeuses. Guérir n'est plus si aisé. Contrairement à la mort qui elle te fauche d'une facilité déconcertante.
Puis tu l'as découvert encore plus fourbe, cette pute de supercherie. Sept essaies. C'est tout ce qu'ils t'ont donné. Qu'importe qui. Tu les nommes Ils.
Et ils se sont bien foutu de ta gueule.
Particularité: 7 coups en une vie. La mort n'est pas un fardeau. Pas totalement. Te voilà à ton quatrième essaie. Pourtant, plus tu reviens, plus tu jongles. Tu sens la lenteur de tes guérisons. Les vers qui rongent ta chair de l'intérieur au fur et à mesure que tu tardes à renaître. Qui sait, si jamais tu joues avec le feu, peut-être que le septième coup sera similaire à une non vie. Sans guérison. Avec les dents qui tombent de tes gencives pourries. Mais t'en es pas là. Est-ce que tu t'arrêteras ? Tes pulsions sont plus fortes. Et parfois, la vie est une sacrée connasse à l'humour douteux. Plus que trois coups. Au moins, t'as la force d'un bulldozer.
Opinions: Vulgairement parlant, c'est de la merde. Si on doit pousser l'opinion politique, c'est toujours une belle défécation. Tout était mieux quand personne se doutait de rien. T'avais le champ plus libre. Les flics sont faciles à berner. Mais des institutions telles que le. C.A.A et le CODECS ont vu le jour. Le gouvernement s'est libéré de ses chaînes en dévoilant ses engeances. Car qui d'autre est derrière tout ça ? Toi, t'y crois pas. Tout est lié. Et depuis ta première déchéance, tu sens le poids de la chute s'effondrer sur ta foutue carcasse. Tes enjeux sont plus lourds. Et pourtant, l’excitation t'emporte dans un délicieux vent de fureur. Le jeu n'en ai que plus piquant, plus grisant.
Révèle-toi
Garce maligne au visage d'ange. Lèvres carmins sur peau d'albâtre. Petit être aux airs poupins. Tricheuse. Ordure increvable. Tes pulsions sanguinaires ont eu raison de toi depuis si longtemps. A présent, c'est une partie de ton être. Tu es cette chose. Diabolique pétasse. Plus si humaine. Putain infernale. Ordure satanique aux relents de l'enfer. Tes petites babines larges et tentatrices susurrent de douces paroles. Foutue menteuse. Prestidigitatrice. Tes chimères embrouillent. Tu manipules tes pantins comme de jolies marionnettes. Tout n'est qu'un rôle. Tu ressens les choses d'une telle force qu'elles te consument à petit feu. Maladive que t'es. La folie te guète.
Tu te nourries de tous les pêchers. Luxure est ta gourmandise.
D'autres diraient avec candeur que tu n'es pas vu le jour ainsi. Trop d'ignares. Si réticents à l'idée d'admettre que l'humanité est le pire des maux du monde. Tes pulsions sont là depuis si longtemps que tu en as oublié leurs naissances. Planter un couteau dans une chair chaude et molle est ton petit pécher mignon. D'autres préfère rouler des fajitas. Toi tu préfères les cris d'une douleur cuisante. Même le sexe passe en seconde zone. Putain carnassière. Meurtrière. T'es sans foie ni lois. Tu crois au tangible. Grande mangeuse qui saute les prières avant de passer à table. Tu trompes l'ennuie. T'es blasée au point d'en être passée à l'acte. Grosse pessimiste désabusée par la vie. On vit, on meurt, on disparaît.
Tu le sais. T'as été de l'autre côté. Quatre fois. Et à chaque coup de faucheuse, c'était le néant. Aucun souvenirs à ton retour. Quedal. Ca couperait la chique à toutes ces hypocrites religieuses. Tu préfères être une hérésie qui s'assume qu'une coincée qui se fait prendre en douce dans le confessionnal. Tu préfères crever que de te priver. Les limites sont quelque chose que t'ignores superbement. Même sous tes faux airs de pucelle farouche, t'as la langue aiguisée.
En résumé, t'es une joyeuse pourriture. Deal with it.
Confie-toi
L'AUBE- Un cri gerbé dans les entrailles d'un couloir glacial. Heureux événement. Cadeau du ciel. Illusion parfaite. Si fausse. Ils ont bercé ton corps minuscule, pleuré et versé leur eau de sel sur ton visage poupin et fripé. Si heureux, si naïfs. En cette chaleur d'Août. Les salutations pleuvent sur tes parents. Les mirettes sont toutes figées sur ta tendre et frêle armature. Minuscule poupée bambine. Presque aveugle. Un monde si flou. C'est à la naissance qu'on voit vraiment la réalité du monde. On en voit rien. Cette naissance, tu la revis à chaque fois. C'est le premier rêve avant le nouveau souffle. Avant la désillusion. Ces visages dégoulinant de bonheur. Un songe mensonger. Un rêve à vomir. L'enfance banale. Ponctuée de quelques événements bancales. Les premiers insectes morts. Les premières pulsions sanguines. Le premier plaisir après avoir frappé un camarade de classe en primaire. Les premières bagarres. Les premières disputes avec tes parents. La première fois qu'ils t'ont appelée ' Fille à problèmes '. Ce premier connard de Psychologue. Le premier meurtre le soir du bal de promo. Le premier garçon. Puis le second meurtre. Nouvelle ville. Nouvelle vie. T'en étais à ton cinquième massacre, quand t'es tombée sur plus fort que toi.
Et ça, il l'avait payé.
Confie-toi
PREMIER TRÉPAS- Le sang coule. Flash. Les souvenirs grimpent jusqu'à tes neurones. Flash. L'odeur de ta mère. Les sourires de ton père. La lumière filtrant à travers la fenêtre. Le rêve est étrange. Ton inconscient est submergé. Tes émotions sont explosives. C'est là que tu le sens. Le métal froid dans ta poitrine. La chose qui traverse tout ton être immobile. Coincé dans l'obscurité. Tu ne comprends pas ce qui se passe. Flash. Le sang qui gicle. Flash. Ta mère qui prend des petits doigts. Flash. Le couteau qui s’abat dans ton thorax. Les rétines horrifiées de ta victime. Un homme séduisant. Tu t'étais amusé avec lui, avant de le ruer de coups. Avant de le torturer. Tu te souviens à présent. Tes crimes te submergent d'une joie malsaine. Mais la panique t'emporte dans ses tourments. Tu sens qu'on fouille ton corps. Tu sens les doigts. Mais la douleur ne vient pas. Tes dextres refusent de bouger, tes lippes refusent d'hurler. Les émotions qui s'écoulent comme les perles de sang coagulées sont pareilles à un poison. Ton humanité te frappe en pleine gueule et tu détestes ça. Tu hais cette révélation. Tu comprends. Le néant s'empare à nouveau de toi. Et tu te réveilles. Les prunelles s'ouvrent. Le plafond lumineux devraient crever tes rétines. Ton palpitant devrait battre dans ta poitrine. Rien. Tes prunelles onyx descendent doucement jusqu'à ta poitrine. Tu vois littéralement ton circuit organique. Cœur, poumons, nerfs, chair visqueuse à vif. Et ton cœur qui ne bouge plus. Tes doigts qui devraient trembler viennent doucement refermer tes lambeaux de peau pour les rejoindre. Tes bouts de carne s'accrochent et t'attends, médusée et fascinée. Y a une légère dose de trouille qui te pique l'arrière de la tête. Ta chair se recompose doucement sous tes yeux. Un rire t'échappe. Dément, joyeux et angoissé. La progression cesse soudainement. Les tissues sont à peines soudés entre eux. Suffisamment pour te laisser te relever sans perdre tes organes. Pas assez pour te rassurer. Tu colles tes mains sur ta poitrine. L'air ne te manque pas. La faim ne te tiraille pas. Tout est froid. Si polaire. Tu clos tes paupières. Assimile les événements, mais rien ne vient. Rien de tout ça ne peut être réel.
Et pourtant, t'es belle et bien sur une table de chirurgie, face à plusieurs casiers numérotés. Tout est réel, comme l'étiquette à ton pied, portant les inscriptions 'Jane Doe'. Tu l'arraches avec un juron, pourtant rassurée de voir qu'on t'as pas identifié. Ca aurait fait tâche, étant donné que celui qui t'as tué, c'est celui que tu devais liquider. Tout ça signifie une seule chose, ils ne l'ont pas retrouvé. A toi de lui mettre la main dessus en première pour le liquider. S'il parle, t'es foutue. A peine de retour, tu comprends ton but.
Recoudre tes stigmates. Finir le boulot.
Confie-toi
SECOND TRÉPAS Ta capacité à foutre un doigt à la faucheuse n'est pas l'unique avantage. Il y en a un autre. Plus beau, plus grisant. La force herculéenne qui coule dans tes veines. Ton don pour repousser les hommes aux mains crades d'un coup de dextre. Ta force égalant celle d'un être surnaturel ne te prive pas d'une chose capitale. La vie. Mieux encore, la vie est un New Over continuel. Tu passes, tu trépasses. Mais tu reviens. Y a forcément des complications. Parfois du dois même changer de ville, et de nom. T'en as utilisé beaucoup, jusqu'à vouloir oublier celui d'origine. Ca fait longtemps que tu ne portes plus celui donné par tes progéniteurs. Pourtant, tu fais ta vie. Et pourtant, un beau jour, la désillusion t'as frappée en pleine tête. Il y a eu la troisième. La troisième mort.
Ta plus stupide.
Confie-toi
TROISIÈME TRÉPAS- Ecroulée dans les marches. Ta nuque s'est brisée. T'as sentis le craquement avant de tomber dans le néant. T'aurais pu faire pire. A ton réveil sur une énième table chirurgicale polaire, t'as sentis le goût du sang coagulé sur tes lèvres avant migraine cuisante. Ton cœur qui cesse de palpiter. Tu connais la musique. Et pourtant, quelque chose cloche. La guérison est bien plus longue que les deux premières fois. Trop lente. Tu fuis à nouveau, tu changes d'adresse et laisse un sanctuaire dévalisé derrière toi. Des gens te cherchent. Ils te cherchent toujours. Mais cette fois, ta bouille circule d'un état à l'autre, placardée sur des briques de lait. Les flics font appel. Et ta ville d'origine te reconnaît comme étant l'assassin de l'un des leurs. Celui responsable de ta seconde mort. Celui qui t'as échappé. Il a pu parler. Cette fois, on te reconnaît. Capuche vissée sur la tête, tu te traînes de ville en ville jusqu'à quitter l'Irlande pour l'Ecosse. Puis l'Ecosse pour l'Angleterre. Là-bas, ton accent tranche avec celui des autres. Tu te réfugies dans une ville peuplée de nombreux habitants. Espérant n'être qu'un grain de poussière dans la masse ordurière. Tu changes de nom. Tu passes du blond au brun, ta couleur naturelle. Tu retires tes lentilles opales pour garder tes iris onyx. A chaque nouvelle vie, tu transformes ton image. Alors pourquoi revenir aux sources ? T'en sais rien. Peut-être par nostalgie. Peut-être parce que cette fois, tu sens que tu pourrais t'y plaire et planter tes nouvelles racines. Mais aussi parce que la couronne est de plus en plus vigilante. Parce que maintenant, les humains savent. Parce que tu dois te fondre dans le moule, ne faire plus qu'un avec lui.
Mais t'étais loin d'imaginer qu'après avoir été tolérée, quelqu'un tenterait de te liquider.
Confie-toi
QUATRIÈME TRÉPAS- Retour violent pour un souffle absent. Ta carcasse redressée, tu fixes d'un air morne ton bourreau au scalpel glacé. Tes babines se retroussent. Les souvenirs te manquent. Tu ne comprends pas ce que tu fais là, parce que tu ne devrais pas y être. Cette nouvelle morgue inconnue et pourtant si familière. La jumelle de tant d'autres. Tu ronges la salle d'un regard froid et colérique. Voilà des mois que tu n'as plus descendu personne. Voilà des mois que tu gardes tes distances avec la faucheuse, peu désireuse de perdre du temps à guérir. De ne plus sentir le goût des aliments ni le plaisir charnel. Et voilà qu'un connard s'éclate à te coller une balle en pleine tête. Tes iris s'élargissent. Tu sens quelque chose de gluant s'effondrer et baisse tes mirettes pour aviser ton palpitant s'écrouler contre ton bas ventre, à peine retenus par quelques filets de nerfs tranchés. Quelques organes pendent de ton intérieur, prêts à suivre ton cœur échoué entre tes cuisses. Tu souffles, agrippe d'une main ferme le médecin légiste et crache avec véhémence :
« - D'abord, tu vas me recoudre, ensuite, tu vas m'expliquer ce que je fous là, putain de bordel de merde ! »
Et tu comptes bien arracher chaque organe de la carcasse organique à l'enfoiré qui t'as doublée.
Hors-jeu
Pseudo et âge: Swan, un quart de lune. Encore un et j'suis bonne pour le cimetière.
Comment as-tu connu le forum? Par Ivy !
Qu'est-ce qui t'a convaincu de t'inscrire? j'ai aussi connu Reversa, sans jamais m'y inscrire. J'avais pas du tout prévu de venir, mais ce forum me permet de faire Mo' comme je le voulais, et vu le bien que j'ai entendu de Reversa, j'ai décidé de foncer ! Je vous avoue que j'ai du toujours du mal à m'inscrire sur de nouveaux forums, j'essaierai de pas être trop farouche.
Depuis combien de temps fais-tu du RP? Houlà. J'veux même pas calculer. XD Ca s'compte en ... plusieurs années.
Fréquence de connexion: Souvent, plusieurs fois par semaine. J'ai tendance à mettre 3 semaines à 1 mois pour répondre à mes rps ( Si par malheur ça met plus de temps, j'essaierai de prévenir ! ) , mais j'essaie de flooder à fond pour contrebalancer ça. Et là-dessus je m'accroche à la perfection avec les règles de présence du forum. J'aime les endroits où j'peux souffler et là quand je le peux, et pas quand 'je le dois'. Donc rien que pour ça j'vous n'aime.
Un commentaire? Est-ce les canards peuvent manger des cookies ? Vous avez trois heures !
Dernière édition par Morrigan Petty-Fitzmauric le Lun 21 Aoû - 11:44, édité 23 fois
MA MAMIE ! OMG, MA MAMIE ! AVEC UN PERSO QUI A JUSTE TROP L'AIR BRISÉ COMME ON LES AIME !!!!! BIENVENUE SUR WOD ET BONNE CHANCE POUR LA RÉDACTION DE TA FICHETTE !
Éris Livingstone
Avatar : Mila Kunis Autres Comptes : Kyle A(sshole) Lewis Missives : 425 Livres en banque : 4952
PTDR, ptn mais vous êtes partout. PARTOUT. MON P'TIT FILS. VIENS VOIR MAMIE. Elle va te faire en beau flambi. ET ARIIIIIIIII. V'nez par lô mes chouquettes ! J'suis tellement contente de vous croiser, c'est une si bonne surprise ! ( Ivy m'a prévenue juste après que j'ai posté ma fiche. J'étais comme ' Leur dit pas, on va voir quand elle vont me griller. ' Bah voilà. XDDD )
Perséphone, merci jolie blonde ! Je dirais même une belle brochette.
Edana J. May
Avatar : Anna Speckhart Autres Comptes : Rhea A. Bishop / Gaïa O'Callahan Missives : 3121 Livres en banque : 4643
Feuille de personnage Citoyenneté: (4/20) Don: Songs of the Day: Paint it black ~ Rolling Stones ♦ In Chains ~ Shaman's Harvest ♦ Evil Ways ~ Blues Saraceno ♦ Sick Like Me ~ In this Moment ♦ Who we are ~ Imagine Dragons ♦ Raise Hell ~ Dorothy ♦ Who did that to you? ~ John Legend ♦ Knocking on Heavens door ~ Raign ♦ The Conflagration ~ Stone Sour ♦ Whore ~ In this Moment
#InstantFéminisme Blueberry, t'apprendra que les tétons, homme comme femme, sont les mêmes. S'ils ont le droit d'se foutre torse nu sans qu'on dise rien, alors nous aussi. Apprends à être une femme et on reparlera, morveuse. #InstantFéminismeOff
(Bisous sale gueule, oublie pas notre futur lien )
oui mais tandis qu'une déesse telle que moi a le droit de montrer ses seins, une gueuse telle que toi ne devrait pas faire de même, simple prévention, je ne voudrais pas qu'on te compare à moi, ce qui serait évidemment en ta défaveur parce que je suis trop gentille et que je t'aime bien (c'pas parce que j'aime hello kitty que j'suis pas une femme petty poney )
Sujet: Re: F*CKING DAMNED + Morrigan. Mer 7 Juin - 18:56
Les recommandations du CODECS Pour que tu puisses vivre en liberté
Votre dossier a été examiné par les agents du Comité Organisationnel Des Dons Et Capacités Surnaturelles. Ceux-ci sont parvenus à la conclusion suivante.
Vous avez été APPROUVEE
Veuillez prendre en compte les recommandation suivantes sous peine d'emprisonnement dans le Ribcage.
Vous devez référer tous les mois au CODECS pour le suivi de votre dossier. Si vous ne pouvez vous présenter à votre rendez-vous, veuillez prévenir votre agent au minimum 48h avant la rencontre. Tout manquement à cette rencontre vous vaudra également un emprisonnement dans le Ribcage le temps de la révision de votre dossier.
Edana J. May
Avatar : Anna Speckhart Autres Comptes : Rhea A. Bishop / Gaïa O'Callahan Missives : 3121 Livres en banque : 4643
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Sujet: Re: F*CKING DAMNED + Morrigan. Mer 7 Juin - 18:59
Moooooooooooooooh quelle choupette Morrigan *_* * AHEUM XDDD *
En vrai j'ai été super surprise durant la lecture, mais c'est une de ces psychopathes en vrai ! XD Mais tout est nickel chrome et franchement j'ai hâte de la voir en jeu parce que ça va être super kiffant!
Du coup, je te laisse le petit guide de validation et au besoin, n'hésite pas!
FÉLICITATION Tu es des nôtres, t'as fini ta fiche comme les autres !
Le petit guide du nouveau !
Hey bravo pour ta validation ! Tu as su déjouer les pièges de la fiche et construire un personnage jouable parmi nous ! Donc déjà bravo !
Viens jeter un coup d’œil au Comptoir de Bristol qui t'expliquera comment avoir des points et surtout comment les utiliser pour faire évoluer ton personnage ! C'est également là que tu pourras faire tes demandes de rang personnalisé et de création de lieu(x).
Tu pourras Flooder à volonté par ici et créer ton forumspring .