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| Sujet: Hazel ▪Looking at my years like a martyrdom. Ven 12 Oct - 23:27 | |
| Hazel Gin Hopkins Avatar: Madelaine Petsh Humain a don - Freak like me Statut: Pour les Altérations: Approuvé.
Âge: 27 ans.
Métier:Gérante d’une bar.
Lieu de naissance:Brighton, le sept juin mille neuf-cent quatre-vingt onze.
Don: Don ou malédictions vu la situation actuelle, appelez cela comme vous le voulez. J’ai le don de télékinésie, les objets bougent ou tombent, selon ma volonté. Je peux les contrôler à distance, ça m’a était utile dans d’autres circonstances d’ailleurs. Ou juste pour emmerder ceux qui se dressaient contre moi. Bien sur, si je l’utilise trop, il se peut que l’objet se retourne contre moi, plutôt que sur ma cible. Une fois, alors que je tentais de stopper une voiture prête à avoir un accident, je n’avais pas mis longtemps à m’évanouir, mais surtout, à me rendre compte que ça n’avais pas fonctionné...
Particularité: Une longue cicatrice partant de l’omoplate gauche, au milieu de son dos.
Opinions: Pour elle, ce gouvernement ne ressemble qu'à une dictature sanglante, aux nombres incalculables d'incohérence. Beaucoup d'humains a don ou de créatures de nuit ne faisaient de mal à personne, quand bien même, ils étaient tous dans le même panier et elle aussi. Cela ne lui plaisait guère, d’autant plus que des humains faisant bien pire, s’en sortaient trop bien. Vous le savez, les règles ce n'est pas son fort. Mais elle s'était montrée discrète dans cette ville depuis son arrivée. Elle le voulait, son nouveau départ. Mais, ça n'empêchait pas son incompréhension. Tout le monde savait que les dictatures finissaient mal. Alors elle se fichait pas mal du gouvernement, elle restait dans son coin, dans son bar à faire sa vie. Parfois, il lui arrivait d'aider certaines personnes qui souhaitaient se cacher, il y avait dans sa propriété, une cachette bien gardé. Elle préférait de loin suivre son avis, plutôt que celui, tout prêt, du gouvernement. Hazel n’avait pas de camp, or mis le sien.
Révèle-toiOn peut dire que le caractère de la rousse, est assez complexe et contradictoire. Si bien qu’elle-même, ne se comprend pas. C’est pour dire. Peut-être est-ce dû à son signe astrologique ? Après tout, les gémeaux sont connus pour leurs doubles personnalités. Tout du moins, ça expliquerais certains points. Bon, revenons-en aux faits. La jeune femme déteste qu’on lui donne des ordres. Peu lui importe de qui ils viennent. Elle sait ce qu’elle doit faire, mais surtout, elle préfère de loin faire les choses comme elle l’entend. Voilà pourquoi, un bar lui appartient. Pas d’ordres à recevoir, mais plutôt à donné, et ça, ça lui plaît assez en fait. Bien que torturés, ses employés n’est pas de son genre, relégué l’est un peu plus. Feignante, certainement, un peu oui, disons simplement que boire des verres, profiter des concerts et s’amuser, fait vibrer son cœur plus que nettoyer des verres. Me direz-vous, qui préférerait nettoyer des verres plutôt que de s’amuser, sans ne penser à rien d’autre, qu’aux effets de l’alcool et d’autres chose ? Pas Hazel. Avec les sombres péripéties de la vie et du temps, la rousse se retrouve bien trop souvent prisonnière de l’alcool et de certaines drogues. Clichés, sans doute, mais peu lui importe. Grâce à tout ça, elle oubliait les ténèbres dans lesquelles elle s’enfonce un peu plus chaque jour. La demoiselle déteste l’injustice, c’est une chose qui l’excède au plus au point. Si elle se retrouve témoin d’une scène injuste, elle fera son possible pour aider la personne à s’en sortir. C’est une femme hypersensible et affectueuse, même si ce n'est pas ce qui apparaît véritablement aux premiers abords, tout du moins, son comportement dépendra du vôtre. Au moins, vous saurez toujours si c’est blanc ou noir, les nuances ne sont pas trop son truc. C'est une bonne comédienne, la manipulation est un art qu'elle connaît bien. La belle rousse sait parfaitement user de son charme et de son sens de persuasion pour arriver à ses fins. Sa gourmandise et sa sensualité, souvent liées à son impulsivité, la poussent parfois plus loin qu'elle ne l'aurait voulu. Femme indépendante la liberté est une valeur essentielle pour elle, voulant vivre de ses propres décisions, et ce, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Quand elle décide quelque chose, inutile d'essayer de la faire changer d'avis, vous n'y parviendrez pas. Étant d'un naturel têtu et obstiné et voulant toujours atteindre l'objectif qu'elle s'est donné. Elle pense toujours au moment présent, sans toujours réfléchir à la suite des événements, voulant profiter de la vie comme il se doit. Ayant le sang chaud et étant impulsive, elle peut faire quelque chose comme ça sur un coup de tête. Hazel a comme qui dirait, un caractère vraiment contradictoire, faisant face à deux personnalités, totalement opposées, mas pourtant bien là. C'est une jeune femme active, indépendante, courageuse mais sombre à l’intérieur. Cependant, sous ce masque, se cache une fille d'une très grande sensibilité, dont elle essaye souvent de se protéger, car elle se retrouve la plupart du temps, blesser par les aléas de la vie, dans ces cas-là elle se renferme sur elle-même et se montre arrogante, fière et parfois égocentrique.. Malgré sa fière allure, la jeune femme a besoin d'affection. Mais ça elle ne le dira jamais. Même si elle peu paraître égoïste, elle sera toujours là pour ses proches et sera prête à tout pour eux. Une son amitié ou son amour donner, elle sera prête à tout pour vous.
Confie-toiOn ne peut pas dire que ma vie aura été des plus clémente envers moi. Mais qu'importe ce que l'on peut dire, car il y aura toujours pire, n'est-ce pas ?
Enfin bon, quoi qu'il en soit, il parait que je dois raconter mon histoire. Bien que l'envie me manque, et le fait d'avoir l'impression d'être chez le psychologue n'arrange rien.
/ Je suis née dans ce beau pays qu'est L’Angleterre, dans la ville de Brighton, il y a de ça vingt sept ans déjà. Mes parents étaient normaux et aimants. Ils étaient ensemble depuis tant d'années, que la flamme de leur amour, s'était éteinte au fil du temps, assassin de tous. Ils s'étaient promis amour et fidélité, jusqu'à la fin, alors malgré la tristesse et la solitude que cela leur procurait, ils étaient resté uni.
Mon frère jumeau et moi, mon opposé, avions toujours été inséparables. Il était tout simplement mon double, ma moitié, celui qui faisait de moi une personne entière. On se complétait à la perfection. Nous avions toujours été des casse-coup de première, voulant embrasser chaque sensation forte. Si bien que l'on puisse clairement dire que nous n'étions pas des enfants sages, faisant toutes les bêtises possibles, sans jamais avoir peur de conséquence. Une fois mis au défi, on allaient toujours au bout, peu importe l'endroit et le moment.
Une vie qui se voulait dangereuse, mais si forte en émotion. L'adrénaline me donnait la sensation de vivre, de ressentir chaque vibration que la vie m'offrait.
A nos vingt cinq ans, des amis avaient proposé de faire une course de voitures. Deux par voiture. Évidemment, mon frère faisait le pilote, tandis que je me contentais d'être la copilote, n'ayant pas le permis. L'euphorie nous entourait d'une sensation agréable. Nos rires semblaient se perdre dans le bruit sourd du moteur, qui fendait l'air à grande vitesse. Nos regards s'étaient croisé un cours instant, cependant, cela avait suffi à tout foutre en l'air. La voiture avait dérapé dans un virage, à cause de la pluie. Il ne parvenait pas à en reprendre le contrôle. À son visage, je voyais qu'il avait en ce moment-même, la peur de sa vie, nous étions deux. Son premier instinct avait été de mettre son bras en barrière devant moi, afin de me protéger. J'avais retiré son bras, afin de prendre sa main. On était venu au monde quasiment en même temps, nous repartirions ensemble.
Seulement, ce lampadaire qui se dressait droit et fier se trouvait du côté pilote lors de l'impact. Mon don n’avait pas fonctionné, à cause de la peur, j’avais essayé de stopper la voiture, en vain. L'airbag m'avait assommée, et je sentais une vive douleur m’en transperçais le dos. Néanmoins, le plus important était de voir comment allait mon frère. Il avait le souffle court, les yeux qui commençaient à se refermer, la poigne de sa main se desserrait. Totalement perdue, je le regardais, les yeux larmoyants, lui suppliant de ne pas succomber. Pour lui, j'étais prête à tout, mais ça n'était pas suffisant. Il eut alors un fin petit sourire, me prit la main, et nous partions tout deux dans un sommeil profond.
Jamais je n'ai connu de réveil plus brutal que celui-ci. J'avais du mal à respirer, mon cœur me faisait souffrir, tandis que mes yeux se baladaient dans cette pièce sans âme, ni chaleur. Au passage, j'avais remarqué ces aiguilles plantées dans ma chair pour me faire aller mieux. Alors que tout ce que je souhaitais, c'était m'échapper de cet endroit, mais avant même que je n'y parvienne, des aides-soignants, accompagner de mes parents en larme, venaient de rentrer dans ma chambre. En voyant leur air dépité, tout m'était revenu tel des coups de poignard en plein dans la poitrine.
On aurait dit une furie, lorsque j'avais voulu me relever, mais ces gens en blouse blanche, m'en empêchaient. La haine et la colère bouillaient en moi, je hurlais tout en les suppliants de me laisser, aller le voir, sinon ils allaient le regretter. Finalement, ils m'y avaient accompagné, tandis que je tremblais dans ce fauteuil roulant. En franchissant la porte, je me souviens que mon cœur s'était stoppé, comme s'il comprenait enfin ce qu'il se passait. On m'annonçait en même temps que mon frère se trouvait dans le coma suite à une hémorragie interne, que seuls ces tubes dans sa bouche lui permettaient de tenir. Ce jour-là, j'avais passé la nuit à ses côtés, espérant qu'il se réveille de ce cauchemar atroce. Ce ne fut jamais le cas.
S'il y avait bien une chose que la vie m'avait apprise, c'était que le temps nous prenait des choses précieuses, mais jamais le temps n'avait réussi à rendre la douleur moins grande. Sans lui, je me sentais vide, morte. Notre lien indéfectible, nous avait été arraché de force.
Seulement, je devais rester forte et profiter de la vie, pour lui. Parfois, ce n'était pas simple à faire. Mais il aurait aimé que tout reste intact, que nous profitions toujours à ce point de la vie, peut-être parfois un peu trop, mais qu'importe. Après tout, nous n'avons qu'une vie. À sa mort, mon cerveau a comme qui dirait, disjoncté. C’est ce que le psy disait. Il disait aussi que j’avais des problèmes de colère et de contrôle. Je ne vois toujours pas de quoi il parle... Oui bon d’accord, j’ai un peu pété un câble ou deux, ou plus en fait, je ne m’en souviens pas et c’est pas important. Ce qui était important à ce moment-là, c’est que je n’étais plus moi sans James. On était comme es deux doigts de la main, on ne jouait jamais sans l’autre au piano, faisant des mélodies à quartes mains, c’était notre truc à nous. Mais il ne restait que moi et mes ‘chers parents’ qui mettait sa mort sur mon dos. Voilà ce qui m’a rendu folle. Dans la maison familiale, d’innombrables objets avaient volé, certains au raz de mes parents, fallait dire qu’ils l’avaient bien cherché. J’avais tout fait pour stopper la voiture, et vivre sans ma moitié était déjà assez douloureux comme ça. Après les objets, ce fut les drogues, d’abord l’herbe qui m’aidait enfin à dormir plus d’une heure, puis rapidement, ça ne suffisait plus. J’avais sombré dans l’héroïne, qui me procurer ce doux sentiment d’apaisement, d’euphorie intense, grâce à ça je passais outre la douleur de mon cœur qui ne cessait de saigner. Seulement mes parents voyait le changement, ils voyaient et surtout entendaient parler de ce que je faisais. Ils n’avaient trouvé qu’une solution. Me foutre dans un Putain d’hôpital psy. Comme si j’en avais besoin. Moi ? Dérangée ? Hmpf, la grosse blague. Je voyais juste la vie sous un autre angle, voilà ce qui dérangeais mes chrétiens de géniteurs, la différence. J’ai joué le jeu dans l’asile, pendant un mois, c’était amusant de laisser la folie m’envahir, mais entre ces barreaux, ça l’étais moins. Et puis, il m’était hors de question de finir en zombie avec le cerveau en miette à cause de leurs cachets. Alors j’avais élaboré un plan, ma propre fugue, mon don allait m’aider pour une fois et a ma sortie, je partirais loin d’ici.
Voilà pourquoi je m'étais envolée pour Bristol, peu de temps après cette tragédie. En quête de répit, ne serait-ce qu’un peu. Dans cette ville, c’était plus l’enfer qu’autre chose... Ces lois, ces dictatures aussi infâmes qu’injuste. Pourrais-je seulement un jour avoir la chance de trouvé ma place, dans un monde en paix ?
Hors-jeuPseudo et âge:Pandy et 24 dents. Comment as-tu connu le forum? En faisant une demande sur Facebook. Qu'est-ce qui t'a convaincu de t'inscrire? Le contexte, l’histoire tout en fait. Depuis combien de temps fais-tu du RP?13 ans. Fréquence de connexion: En particulier le dimanche et le lundi. Un commentaire?
Dernière édition par Hazel G. Hopkins le Mer 17 Oct - 0:55, édité 7 fois |
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