Eleanora Costa.. Dolce è assestato di sangue

Si il y a bien quelqu chose que notre dernier chef des vampire a bien pu retenir  c'est que sa  Eleanora peut se montrer très charismatique mais aussi bornée. Les expériences de la vie , du moins les mauvais moments que j'ai pu passer m'ont forgé, rodée à toute situation, parfaitement indépendante, il est rare que je demande de l'aide à quelqu’un , ou alors c'est que ma fin est proche mais tout ce n'ai jamais arrivé.  Mes infants vous le diront, j'ai un sens de la famille assez développer pour une vampire de ma trempe. Ma force de carractére leur montre la voix. Parfois impétueuse, sanguinaire par jeu mais aussi par vengeance ( je vous parlerais un jour de la manière dont j'ai traitée la fille de ce  couple d'aristocrates bien trop fier d'eux même), je sais profiter de la vie et de la manière dont elle peut assouvir mes désirs. Mon public me qualifie d'imaginative, si il; s'avait comment je peux l'être aussi dans la maniéré de faire le mal. Mais cela est une autre histoire !

C’était au cœur de l’année tumultueuse de 1865 que je naquis, dans une atmosphère sombre et humide. Les gouttes de pluies ruisselaient le long du soupirail menant à cette cave.  Il y avait mieux comme endroit ou donner naissance, je devais l’admettre, mais nous n’avions guère toujours le choix.  A travers ce soupirail pouvait se discerner le bruit des bottes, de l’agissent sur les barricades témoignant d’une Italie en proie au tumulte.   L’accouchement avait été douloureux, dans un endroit certainement pas sain, les couinements de rongeurs témoignaient de la vétusté de l’endroit.  La famille Costa n’avait plus rien, depuis la venue au pouvoir des totalitaires, notre fortune avait été saisie., pour le  “bien de la couronne qu’il disaient“.  A treize heures retentissaient mes premiers cris, ils n’avaient que pour échos le crépitement des mousquets des barricades.
J’ai du attendre quinze longue année, sans le sou, la vie dans cette nouvelle Italie nous avait lamentablement ruiné. Mon père essayait de vendre des œuvres mais c’était sans compter le spectre de la censure politique. La seule solution était donc la fuite. Si le premier choix de ma mère avait été la France, c’était l’Angleterre qui avait été retenu.   Chacun des Costa avait trouvé un travail , ma mère gardait les enfants pur une dame fortunée, mon père  tachait d’entretenir son ancien travail, mais avec la concurrences des artistes anglais toutes perspectives de réussites étaient purement veines. J’entrais donc, a mes seize ans, au service d’une famille   aristocrate, les Wellington. Si au début tout se déroulait bien, les mois passait et le dégout   que ces gens exprimer pour notre classe sociale se faisait ressenti. La mère de cette famille n’osait plus me regarder en face ou du moins le peu de regards qu’elle m’adressait était purement vérolé par le dédain et le dégout. Je travaillais donc dans ce climat hostile, faisant ainsi le ménage pour ces gens si irritable, si repoussants. J’étais plutôt imperméable à la pression, cela dit ce serait vous mentir si je vous disais que leurs reproches et leurs brimades ne me dérangeait guère mais je me taisais, je serais les dents et j’essayer d’aller de l’avant. Ma vie tourna au drame lorsque à mes dix-huit an les trois enfants de cette famille infernale    avaient franchis le point de non-retour. Un soir, l’ainée entra dans la petite chambre qui me servait de pièce à vivre, accompagnée de ses deux frères. Elle verrouilla la porte. Trois contre un, le rapport de force était si facile pour eux ! Je me retrouvais donc au sol. Je me souvins ce sourire sadique que l’Ainée, Jenny avait arborée sur son visage lorsqu’elle me maintenait   fermement les poignets.   Le benjamin quant à lui m’agrippait les chevilles. Je ne pouvais que me sentir impuissante lorsque j’entendis le tissu de mon jupons se déchirer et le cadet prenait lentement ma virginité.  J’ai gardé ce souvenir de ma vie. Ce genre de situation    allait devenir régulière.   Je ne disais rien , je ne faisais point de vague , cette famille étant des aristocrates, il serait facile pour moi de me retrouver la corde au cou pour meurtre si je venais à me défendre. Alors je subissais en attendant la délivrance. Deux années d’enfer, avant que ma mère m’annonce une bonne nouvelle. Elle venait de me trouver un bon parti.  

A vingt ans je me retrouvais donc marié  à un homme qui avait fait carrière dans  l’acier , il fallait dire que le chemin de faire était en pleine expansion  ce qui accroissait la fortune des gens dont l’acier était au cœur des investissements. Nathan Dowes était du genre bienveillant, lorsque je lui ai raconté les expériences par lesquelles je suis passé avant il voulait entreprendre des actions contre cette famille. J’ai pu l’en empêcher. On ne gagne pas à l’aristocrate, d‘autant plus ceux de la couronne anglaise. Malheureusement Nathan était un gros joueur, dilapidant sa fortune aux cartes, en l’espace de cinq ans il fut ruiné  à, un point qu’il est allé demandé de l’aide aux usuriers.  Dans l’incapacités de rembourser l’emprunt, s amort n’était guère de cause naturelle je peux vous le certifier.  De nature prévoyante il avait eu le temps de m’ouvrir un compte, assez discret , personne d’autres à part moi  en connaissait l’existence, il y avait pas beaucoup mais de quoi assurer une survie et une dote.   On peut donc croire qu’il savait que cela allait arriver. Je fus donc remariée    quelques années plus tard, histoire de me laisser faire mon deuil. Cette fois -ci l’homme, Peter, était beaucoup plus vieux que moi et n’avait qu’une obsession, perpétrait sa lignée d’Apothicaire. Il ne m’avait épousé que pour ce la d’ailleurs. Je n’étais qu’un ventre pour lui.  Mes enfants ne survécurent jamais trop longtemps.   Aux termes de bon nombre d’échec, Peter n’eut pas d’autre choix que de me dire au revoir. Il avait donc rompu les accords du mariage, ce qui n’était pas coutume à l’époque. J’enchainais alors les époux il finissait tous par partir ou se désintéresser, trouvant plus jeunes, plus jolies et plus riches. Ma véritable relation avait duré plus de quinze ans, James Newton. Je pensais finir ma vie paisiblement à ses cotéS, malheureusement le hasard s’en est emmêlé. A 49 ans James avait contracté la tuberculose, elle eu raison de lui  à 51 ans

J’étais donc seule, en proie au chagrin. J’avais 52 ans ce jour-là ,  je voulais donc faire un théâtre histoire de me changer temporairement les idées. C’était une bonne soirée mise à part le fait   qu’en sortant de l’établissement, en passant dans la ruelle pour rentrer chez moi un agresseur s’en prit à moi, probablement pour voler mes affaires personnelles. J’avais opposé une résistance farouche, le jeune bandit avait fini par m’enfoncer son couteau entre les cottes et me laissa ainsi dans la marre qu’était mon propre sang.  Une silhouette avait son apparition et avait finit par   me faire boire sons sang. Je perdis connaissance et je me réveillai que quelques jours plus tard.  J’avais mis de nombreuses semaines à m’acclimater de la nature, chassant n’importe quoi, du moins uniquement les personnes de mauvaises réputations tels que bandits et autres raclures cependant mon gout évolua très vite, cherchant du sang à l’apparence plus noble. Je compris alors que l4HEURE de la vengeance avait sonné. Je me mis donc en quête de Jenny Wellington, l’ainée de la famille celle qui avait orchestré mes nombreuses sessions de viol. J’allais lui faire payer et en toute impunité. Une idée qui me ravissait.  J’avais mis   deux longs moi à remonter sa trace, elle avait emménagé dans un petit manoir au large de l’Ecosse. Son mari l’avait quitté le temps d’un voyage d’affaire, elle était donc seule et sa tripotée de domestique. La nuit du vingt-huit octobre, alors que Jenny était dans son salon, j’étais là devant elle. Elle ne me reconnut guère. Ce n’est qu’après un long moment qu’elle su qui j’étais, et que je serais le dernier visage quelle verrait. Je dois avouer que tout était divertissant quand les ongles semblables à des griffes fouillaient ses entrailles répandant son sang et ses viscères sur le sol marbré.  Je pris mon temps, arrachant sa carotide avec mes incises qu’en dernier histoire de bien la voir souffrir. Son sang   inondait ma gorge. Tout était si exquis.  C’est ainsi que le gout pour le sang de noble et aristocrate m’attirait davantage, cela allait être mes cibles de chasses  de premiers choix

Par mois je tuais pas loin de 7 aristocrates, j’avais réussi à maitriser ma faim de façon à ne pas trop tuer et attirer les soupçons. J’avais peut-peut réduit cette moyenne à 4 seulement. Je fus grandement aidé par mon Sire, c’est-à-dire la personne qui m’a transformé. Ce dernier n’aimait guère entendre parlait de me tuerie, pour lui c’était u comportant dangereux, je devais rester dans l’ombre/ J’écoutais donc.  Profitant d’une vie plus sereine, et d’une immortalité. J’occupais les trois quarts de mes journées à peindre, à trouver la maitrise parfaite entre la nature et mon pinceau.   Je suis peut -être une engeance du mal mais rien n’empêchait d’être comme une galerie d’art m’a dit “ une virtuose“.  La peinture et la sculpture n’ont plus de secret pour moi, avec l’essor des technologies je me suis même mise à la photographe


Je savais pertinemment que j’étais de nature infertile, à mon plus grand malheur. Et ma nature actuelle n’allait pas vraiment arranger le problème. L’idée de créer de jeune vampires et de le accompagner, comme mon Sire l’a fait  se profilait alors, c’était un jeu dangereux mais possiblement amusant. Je devais tenter l’expérience. Je réfléchissais donc à la manière dont je devais m’y prendre. L’idée d’avoir des infants me plaisait beaucoup mais s’était une lourde responsabilité, le doute planait. Devais-je vraiment en faire ou plutôt rester seule afin d’éviter de faire quelque chose de mal. Le doute avait duré deux mois seulement. Et c’est au court d’un voyage en Russie que je l’ai rencontré, ce cher Ezéchiel. Je sais dire ce qui m’attirait chez lui mais il tomba rapidement sous mon charme. C’était un bel homme, et j’étais trop séduisante pour qu’il soit fidèle à sa femme. Il l’avait donc trompé, pour moi et cette pensée me fit sourire. Je savais que je faisais tomber les hommes à ms pieds et cette pensée me régalait. Ma deuxième infante, il y a 60 ans de cela que je croisais sa route. Rhéa, cette fille tyrannisée par le deuil, elle avait perdu son seul appuie, sa seule guide et sa seule famille. Sa grand-mère avait succombé. J’allais aider cette femme, sa vivacité de caractère et son extrême sympathie m’avaient de suite attirée à elle. Je décidais alors de jouer franc jeu et de lui avouer ma nature. J’allais même lui proposer un nouveau départ, elle   avait accepté. J’avais d’onc fait d’elle une infante, Rhéa allait me suivre dans mes aventures. Je me sentais comme une mère aimante en vers elle et  je dirais qu’elle  me le rendait bien.

Fort de mon caractère, je pu m’affirmer auprès des autres vampires et acquérir une certaine notoriété. De fil en aiguille je fut repéré par l’ancien clan Reversa. A termes je devins même le bras droit de notre leader Hayden.  Reverso était un clan qui convenait bien, j’étais entourer de gens de la même nature que moi. Lors de sa dissolution je e sentis mal à l’aise. Et que dire de cette Révélation, cette incontestable blague !  Tout était mieux quand nous étions tenues au secret. Que tout ce faisait silencieusement, le plaisir de la chasse était d’autant plus grand.   Après la Révélation, pour tout vous dire Il était difficile pour moi de trouver ma place. Même si j’ai su me montrer silencieuse, trouver ma place, un nouveau clan allait être compliqué. Il y a bien l’idée de contacter Sage, de voir si elle a une place pour moi. C’était une veille connaissance du temps ou je traîné avec Hayden. A présent j'ignore dans quel camp juré allégeance..La seule certitude c'est que Sages peut toujours compter sur mon aide dans la gestion de son nouvel ordre.